Alors que l’agenda des DRH s’annonce déjà bien chargé en cette rentrée 2022, avec notamment le compte à rebours de élections professionnelles qui se tiendront le 08 décembre, le sujet du mieux-être au travail et plus largement de la prise en compte de la santé au travail, dans une approche globale et transversale, sera sans nul doute au cœur des préoccupations de cadres RH, mais aussi de toute la ligne managériale !
Le manager est désormais bien identifié comme un maillon essentiel, sans doute le premier, en charge de veiller à la bonne santé de ses collaborateurs-trices, au-delà des obligations qui relèvent de l’employeur.
Les liens entre la pratique sportive et le maintien en bonne santé physique et mentale sont également désormais bien étayés scientifiquement et dans ce cadre, de nombreuses collectivités territoriales ont mis en place, le plus souvent sous l’impulsion des DRH, des actions en faveur de la pratique sportive qui font partie intégrante des politiques en matière de qualité de vue et des conditions de travail.
C’est dans ce contexte que s’inscrit la dernière étude de l’Observatoire (Social et Territorial) MNT menée en collaboration avec l’INET, dont 3 élèves administrateurs de la promotion Gisèle HALIMI sont allés à la rencontre de ces collectivités qui agissent dans ce domaine.
Objectifs: identifier les bonnes pratiques, les leviers, mais aussi les freins au développement du sport-santé et proposer une série de recommandations, notamment sur l’intégration de ces actions dans le cadre d’une stratégie RH globale et structurée.
Vous pourrez ainsi retrouver dans ce document, des fiches synthétiques reprenant les actions menées par chacune des collectivités rencontrées, ainsi qu’une synthèse parue sur le site de Maire-Info dans le courant de l’été, signe que ces sujets intéressent particulièrement les employeurs publics locaux !
La question que l’on peut se poser à la lecture de cette étude, c’est celle du niveau d’implication des managers dans ces dispositifs, managers engagés, pour favoriser la participation de leurs collaborateurs-trices à ces actions par conviction, ou simplement relais de la DRH, voire parfois aussi frein, car ces actions s’inscrivent la plupart du temps, dans le temps de travail des agents-es.
Les actions de sport-santé posent ainsi clairement la question du temps et du contenu du travail et des postures managériales qui en découlent.
L’étude pourrait s’avérer à ce titre très utile pour développer une meilleure culture managériale su sport-santé au travail.
Un guide à télécharger ICI
Bonne lecture !